marți, 25 ianuarie 2011

unite 1

Pour l'unité 2 nous avions quelque chose à propos du sport et comme je ne suis pas très bon à ce sujet, j'ai regardé pour certains sports intéressante .. voici ce que j'ai trouvé:
JU-JITSU
LE JU-JITSU : L'ART DU COMBAT A MAINS NUES SELON LES SAMOURAIS
Si les arts de la lutte sont presents au sein de la plupart des cultures du monde, ils n'ont cependant jamais atteint un tel degre de developpement et de sophistication qu'au Japon. Peuple insulaire, les Japonais, a l'oppose des autres populations d'Asie, ont prefere adopter comme systeme de defense a mains nues les techniques de saisie, plutot que les techniques de percussion. Aussi les arts martiaux traditionnels japonais sont-ils representes principalement par deux grands courants des arts de la saisie, l'Aikido et le Ju-jitsu. En effet, pour memoire, rappelons que le Karate, contrairement a une idée repandue, n'est pas a proprement parler un art martial traditional japonais : originaire de l'ile d'Okinawa (ile japonaise situee entre l'archipel principal Nippon et la Chine), il n'a ete introduit au Japon qu'a partir du debut du XXeme siecle. Toujours est-il que si l'aikidoka affronte son adversaire a distance de saisie, le ju-jitsuka pratique lui le combat au corps-a-corps.
Developpe par les samourais, le Ju-jitsu (ju: souplesse, jitsu: technique) comporte une gamme etendue de techniques de projection, de cle, et d'etranglement, que ce soit pour le combat debout ou au sol. En revanche, les techniques de percussion (de mains ou de jambes) sont rares et rudimentaires. Les projections, utilisant les principes de levier et de balancier, entrainent la chute violente de l'adversaire au sol, ce qui constitue la quasi-fin du combat. Les cles et les etranglements servent a mettre hors de combat ou a maitriser un assaillant, avec ou sans projection prealable. Les cles sont de deux sortes, en torsion (luxation) ou en extension (rupture) de l'articulation, et s'appliquent soit aux bras (epaule, coude, poignet), soit aux jambes (genou, cheville, pied), voire au cou (vertebres cervicales).
Certaines cles s'exercent meme sur le muscle (biceps, quadriceps), en appliquant une tres forte pression sur celui-ci. Enfin, les etranglements visent a faire perdre momentanement (durant au moins trente secondes) connaissance a l'ennemi. Ces dernieres techniques visent non pas l'etouffement de celui-ci, mais l'interruption du flux sanguin vers son cerveau. Les etranglements n'entrainent pas la mort de la personne qui en est victime, pas plus que des sequelles.
Par la nature de ses techniques, le Ju-jitsu est un art martial particulierement interessant pour les femmes et pour les personnes de faible constitution physique. Son efficacite repose essentiellement sur sa qualite technique, contrairement aux arts de percussion (comme le Kung-fu ou le Karate), ou la force a la fois de la personne donnant les coups et de celle les recevant sont des facteurs primordiaux.
Pourtant, malgre sa richesse technique et sa redoutable reputation, le Ju-jitsu traditionnel a commence a disparaitre a partir de l'ere Meiji (1868-1912), ou ere des Lumieres, époque qui marque la fin du Japon feodal (donc des samourais) et l'entrée de l'Empire du Soleil Levant dans la modernite.
Aujourd'hui donc, meme au Japon, cet art demeure une rarete. Les quelques ecoles en France (y compris celle de la Federation Francaise de Judo, la FFJDA) qui se reclament du Ju-jitsu sont en fait des "ju-jitsus de synthese", melant des techniques venant du judo, de l'Aikido, et du Karate. En fait, le Ju-jitsu subsiste a present a travers le monde sous des formes modernes et diverses, dont les plus populaires sont le judo, le sambo, et le jiu-jitsu bresilien.
TAE KWON DO - Définitions


Quel est l'art martial le plus pratiqué au Vietnam ? Et oui, c'est le Tae Kwon Do.
Créé en 1955, le Taekwondo est un art martial originaire de la Corée (le pays du matin calme). Il se pratique à mains nues et s'apparente fortement au Karaté.
Importé en France par Lee Kwon Young en 1969 et pratiqué par plusieurs milliers de français, le Tae Kwon Do compte plus de quinze millions de licenciés dans le monde (+de 150 pays).
Sport de démonstration aux J.O de Séoul (1988) et de Barcelone (1992), il est devenu lors des jeux de Sydney 2000, sport olympique : une véritable reconnaissance pour cet art martial aux origines millénaires.
Depuis, il bénéficie en France comme au Vietnam d'un coup de projecteur médiatique.
Nous pouvons citer quelques héros internationaux : Pascal Gentil (français médaillé d'argent) et Tran Hieu Ngan (la première médaille olympique vietnamienne).
Très populaire chez les jeunes, il est à la fois un art martial et un sport de combat.
Art Martial : respect, discipline, code moral et apprentissage technique.
Sport de combat : esprit de compétition, perfectionnement physique et mental.
Quelque soit l'âge, le sexe, la personnalité tout le monde trouvera ce qu'il recherche dans l'art martial.


 et n'oublions pas la grammaire....

Pronoms indiquant une quantité indéfinie
l'un l'autre
l'une l'autre
L'un a 16 ans, l'autre en a 18
L'une est arivée à l'heure l'autre est arrivée en retard
L'un est vert, l'autre est rouge
L'une est petite, l'autre un peu trop grande
L'un d'eux était déjà venu une fois
les autres /autrui
d'autres
Les autres sont beaucoup moins chères
Il y a d'autres possibilités
Celui-ci, je le connais. Mais il y en a d'autres que je ne connais pas
l'un /l'une et l'autre
les uns et les autres
L'une et l'autre sont du même avis que nous
Les uns et les autres sont d'accord avec nous
tout le monde Tout le monde était d'accord
Tout le monde n'etait pas d'accord
Tout le monde criait, hurlait … C'était la pagaille
plus d'un
plus d'une
Plus d'un croit tout ce qu'on dit à la télé
Plus d'une est venue se plaindre
quelques-uns
quelques-unes
J'en ai quelques-uns
Il m'en a donné quelques-unes
Quelques-uns sont très appréciés
Quelques-unes sont tout à fait originales
plusieurs Il en a acheté plusieurs
J'en connais plusieurs qui sont pas chers
tout
toute
tous
toutes
Il a compris tout ce que je lui ai dit
Il n'a pas tout compris
Elle a compris toute l'explication
Ils sont tous venus à ma fête
Tous ne sont pas encore là
Tous n'ont pas compris
Tous sont déjà là
Elles sont toutes venues à la fête
Toutes ne sont pas encore arivées, je crois
Toutes sont déjà là à cette heure-ci
quelqu'un Il y a quelqu'un que je ne connais pas
Quelqu'un a dit qu'il n'était pas d'accord
Quelqu'un a laissé un message pour toi
quelque chose Il a écrit quelque chose dans ce papierIl nous a dit quelque chose, mais pas toute la vérité
quelque chose de + adj. masc. J'aime mieux quelque chose de plus original
Je cherche quelque chose d'utile pour ma soeur
Ça, c'est quelque chose d'important pour nous
grand-chose Il n'a pas dit grand-chose
Là bas, il n'y a pas grand-chose à voir / à faire
Là-dessus , il n'y a pas grand-chose à dire ….


Pronoms interrogatifs simples :

 
  


1- Personnes

Qui est-ce qui ?

(sans inversion)

Qui ?
(sans inversion)
Exemple :
Mon frère parle.
Qui est-ce qui parle ?
Qui parle ?

1- Choses

Qu'est-ce qui ?

(sans inversion)

Exemple :

La voiture fait du bruit.

Qu'est-ce qui fait du bruit ?

2- Personnes

Qui est-ce que ?

(sans inversion)

Qui ?

(avec inversion)
Exemple :
Elle voit son frère.

Qui est-ce qu'elle voit ?

Qui voit-elle ?
2- Choses

Qu'est-ce que ?

(sans inversion)

Que ?

(avec inversion)
Exemple :
Elle voit une voiture.
Qu'est-ce qu'elle voit ?
Que voit-elle ?
3- Personnes
complément avec
préposition
à
de
par
pour         qui ? (avec inversion)
sur
chez
devant
derrière
Exemple :
Elles sont chez le coiffeur.
Chez qui sont-elles ?
3- Choses
complément avec
préposition
à
de
par
pour           quoi ? (avec inversion)
sur
devant
derrière
Exemple :
Il parlait de ses vacances
De quoi parlait-il ?                                   
Pour commencer, je tiens à dire que ce blog est d'améliorer et de répéter mes compétences au français.
Les principales composantes de l'apprentissage d'une langue étrangère est d'accomplir écrire, parler, écouter et, bien sûr de la grammaire.


 
Pour la première unité, j'ai choisi la légende du Japon, la Chine et de l'empire Inca et j'ai essayé de faire une comparaison entre les différentes cultures



La mythologie japonaise
A l'origine, la mythologie japonaise est basée sur le Shintô qui est une religion polythéiste tribale importée au Japon pendant la période Yayoi par des émigrants de Corée et de Mongolie. Elle s'est probablement mélangée à la religion des peuples indigènes qui vivaient au Japon. Comme l'écriture n'apparaît au Japon qu'après l'importation de la culture chinoise, nous savons très peu de chose de cette forme primitive.
DIEU ou KAMI




Les japonais considéraient que toutes les choses de ce monde avaient leur propre spiritualité, et dans une société agricole basée sur la culture de riz comme au Japon rien ne peut pas exister sans une unification et une harmonie parfaite parmi toutes les choses de cette terre : montagnes, fleuves, le soleil, pluie, tonnerre, animaux...


La traduction de kami par dieu ou déesse (dans la tradition grecque et Romaine panthéiste) est quelque peu réductrice, c'est pour cela que le terme kami sera utilisé dans le reste du document. Il y a "huit cents myriades" de kami, (le nombre huit est employé pour indiquer un très grand nombre), chiffre tout juste exagéré si on tient compte que les roches, les animaux, les arbres, les saisons, toutes les forces de la nature, les émotions, et les personnes peuvent être associé à un kami. L'âme des morts est aussi un kami.
Les tout premiers livres de Shintô furent le Kojiki et le Nihon shoki (Chroniques du Japon)
Le Kojiki qui date de 712 de notre ère est une compilation des croyances, des récits de la vie des dieux et des histoires politiques. Ce recueil des récits du conteur Hieda no Arei a été transcrit par Ô no Yasumaro. Il fut envoyé par l'impératrice Gemmei pour recueillir les divers récits et légendes du Japon. Huit ans plus tard. fut écrit le Nihongi (ou Nihon shoki).
Le Ryôbu-Shintô, la forme japonaise du bouddhisme, considérait que tous les kami japonais n’étaient que des manifestations locales des divinités bouddhiques.

La religion et la mythologie des Incas
La religion et la mythologie des Incas se présentent comme un amalgame de cultes fétichismes élémentaires, de croyances animistes, et de cérémonies complexes fortement teintées de magie.

 

                                                                   
Les deux principaux dieux des Incas étaient Viracocha zt Inti. A l'arrivée des espagnols les Andes étaient dominées par la civilisation des Incas.

L'univers inca est constitué de trois "pacha" qui sont à la fois un concept de temps et d' espace:
- Hanan pacha (le monde du dessus),
- Kay pacha (le monde d'ici ),
- Urin pacha (le monde d'en dessous).
Chacune des tribus possédait un huaca qui commémorait la légende de création d'un ancêtre tribal non humain par Viracocha.

La mythologie de la Chine
La mythologie de la Chine s’est formée au cours des siècles par la juxtaposition d’éléments d’origine diverse : on y trouve pêle‑mêle, à côté des anciennes divinités indigènes, certaines grandes figures d’origine bouddhique, qui y jouent parfois, d’ailleurs, un rôle inattendu, des héros historiques divinisés à une époque plus récente, des personnages taôistes, etc.

                                           
Comme il n’y a jamais eu d'autorité d’aucune sorte ayant charge de la religion, pour en diriger, ou tout au moins en codifier le développement, doctrine et mythologie se sont constituées sans coordination, acceptant les idées et les personnages qui frappaient le plus l’imagination populaire en divers temps, non sans contradictions et doubles emplois.
L'écriture de contes mythologiques commença durant les dynasties des Wei et des Jin (vers 220), quand des auteurs sous l'influence des idées du Taôisme et des superstitions Bouddhistes, se sont intéressés aux histoires des dieux et des fantômes.


Dans les fiches qui suivent le symbole marque les pages qui ont trait au taoisme.
Une légende de la minorité Yi raconte qu'un jour le Roi des dieux enjoignit au Roi-Dragon de planter un arbre Suoluo. Le Roi-Dragon s'exécuta et le soir même une fleur s'épanouit sur une des branches, donnant naissance à la lune.
Le Roi des dieux ordonna alors à son fils ainé de planter un deuxième arbre suoluo. Au milieu du jour, une fleur s'épanouit sur l'arbre, donnant naissance au soleil. Le souverain appela alors son deuxième fils et lui commanda de disperser dans l'espace quantité d'étoiles.
Puis il demanda au Roi des étoiles d'ouvrir la porte des vents et des eaux pour que naisse la brume et la rosée.
Après la lune, le soleil, les étoiles, la bri ume et la rosée ; les dieux construisirent le ciel et la terre. Ils firent le ciel en forme de chapeau de bambou et la terre en forme de pelle.
Enfin ils firent tomber de l'arbre Suoluo toutes sortes de graines qu'ils dispersèrent sur la terre. Ces graines donnèrent naisance à tous les êtres